Nous retrouvons dans l’Itar de la semaine l’artiste Houssem Mokeddem, artiste photographe.
Qui êtes-vous ? Comment décrivez-vous votre art ?
une question qui, d’un côté me transporte au plus profond de moi-même, d’un autre, dans une place publique bondée de gens et tout cela, simultanément. Si je dois me présenter, je dirai simplement que je suis Houssem Mokeddem , architecte de formation , photographe de passion, féru de tout ce qui touche a la représentation sociale par un médiateur artistique.
Dans quelle atmosphère créative êtes-vous le plus à l’aise ?
Toute atmosphère, du moment que j’ai un appareil photo entre les mains. je dirais qu’aucune préférence ne se dégage dans mon cas. Toute atmosphère est propice à la photographie.
Que pensez-vous du paysage artistique et culturel algérien ?
Le paysage artistique et culturel… je ne pourrais surement pas apporter une vision non biaisée car je côtois les gens qui forment ce paysage ou du moins une tranche de ce dernier. En conséquent, je dirais que c’est un paysage en trompe l’œil , ce qu’on voit peut ou ne peut être ce que l’on voit.
Comment décririez-vous votre art ?
Je ne suis pas dans ce registre même si je le titille par moment. je suis photographe tourné vers l’urbain, vers la rue que je peins et dépeins derrière mon objectif . Je dirais que je décris ce que je vois surtout, ou comme on dit : “Photographier c’est mettre sur la même ligne de mire la tête, l’oeil et le coeur.”
Si vous pouviez changer une chose, ce serait laquelle ?
Aucune chose n’est à changer pour ma part, si ce n’est de continuer le combat, de croire en moi-même et surtout au inombrables talents que je croise et côtoie : petit clin d’oeil à Amina Benboureche , Nachida souilamas , samara sallam , nahla bensaleh et toute l’équipe CAPSA avec qui je prends du plaisir.
